Noël, ballonnements… et si le vrai problème n’était pas ton ventre, mais un engrenage ?
En ces périodes de fête, peut-être tu ressens des ballonnements.
Tu sais, ce fameux mélange : repas plus riches, quantités plus grandes, alcool plus présent… Et souvent cette petite phrase intérieure qui revient :
« Bon… là j’ai abusé. »
Et le pire, c’est que ce n’est pas fini.
Parce que dans moins d’une semaine, il y a souvent un deuxième round : réveillon, repas de famille, invitations, “allez, juste pour faire plaisir”.
Alors oui, ton ventre parle.
Mais derrière ton ventre, il y a parfois un mécanisme beaucoup plus vaste. Un mécanisme que la plupart des gens ne voient pas… et qu’ils nourrissent pourtant chaque année, sans s’en rendre compte.
1) Le premier étage : la surconsommation alimentaire
Quand on mange trop (ou trop lourd), le corps fait ce qu’il peut.
Il digère, il stocke, il ralentit, il gonfle.
Et là, très souvent, on cherche une solution rapide :
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compléments “spécial digestion”
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tisanes “miracle”
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médicaments pour calmer
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trucs anti-acidité, anti-ballonnements, anti-tout
Sur le moment, on croit régler le problème. En réalité, on passe au deuxième étage.
2) Le deuxième étage : la surconsommation médicamenteuse
Là où c’est vicieux, c’est que la surconsommation alimentaire entraîne une autre surconsommation : celle des produits censés compenser.
Et ça coûte.
Donc, mécaniquement, il faut compenser financièrement aussi.
Et tu sais ce qui arrive quand il faut compenser ?
On va chercher plus d’argent.
3) Le troisième étage : la surproduction
Pour avoir plus d’argent, il faut produire plus.
Travailler plus. Accélérer. Se mettre la pression. Remplir l’agenda.
Et plus on produit, plus on fatigue :
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fatigue physique
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fatigue nerveuse
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surcharge mentale
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irritabilité
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sommeil dégradé
Et devine ce qui arrive ensuite, très naturellement ?
4) Le quatrième étage : “il me faut quelque chose pour tenir”
Quand le corps et le mental sont à bout, on cherche à calmer :
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calmants, somnifères, anxiolytiques (ou leurs équivalents “soft”)
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sucre, café, écrans (oui, ça aussi c’est une forme de compensation)
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et parfois encore… des achats, des “petites récompenses”, du “j’ai bien mérité”
Tout ça devient un cercle. Et ce cercle, il ne concerne pas seulement une personne.
5) Du budget personnel au budget collectif : l’effet domino
Quand ton budget individuel explose, tu vas naturellement vers ce qui est remboursé, aidé, pris en charge.
Et là, ce n’est plus seulement toi : c’est la collectivité.
Donc le pays s’endette.
Et pour compenser, la société doit produire plus.
Et pour produire plus, elle consomme plus.
Et pour consommer plus, elle continue d’alimenter la machine.
Et voilà comment, depuis des décennies, le monde part “en cacahuète”.
Parce que la surconsommation, ce n’est pas seulement Noël et le Nouvel An.
C’est toute l’année. Noël ne fait que rendre visible un système déjà présent.
Une expérience simple qui montre tout
On le voit très bien dans cette vidéo avec Marie : une expérience où elle ne consomme que 1/4 de son assiette.
Là, tout devient évident :
ce n’est pas la privation.
c’est la conscience.
c’est la sortie du pilotage automatique.
Regarde le récit de Marie ici :
Et maintenant, tu as le choix
Tu peux continuer comme avant :
faire “des excès”, puis réparer, puis compenser, puis t’épuiser… puis recommencer.
Ou tu peux décider de comprendre ce mécanisme, à la racine, pour arrêter de le nourrir.
C’est exactement l’objectif de la journée d’atelier avec moi :
mettre de la clarté sur ces engrenages invisibles, et te redonner un levier simple, concret, applicable.
Tout est expliqué ici :
https://stephanebridebonnot.com/jour/
Et toi, tu le vois où ce mécanisme dans ta vie ?
Dis-le en commentaire : juste une phrase suffit.
Et si tu veux, partage cet article à quelqu’un qui vit “le combo” repas lourds → fatigue → compensation.
Stéphane Bride-Bonnot
Monsieur Solution — Propulseur de Clarté & de Liberté
« Débloquer vite, avancer libre. »
Réserve ta session clarté offerte : https://stephanebridebonnot.com/appel











