Travail = instrument de torture à trois pieds
Tu vois, c’est samedi soir, il est 19h35, on vient de passer une merveilleuse journée avec Véro, à revisiter Pornichet, profiter du coucher de soleil…
Et puis à 20h nous recevons et nous allons passer une super soirée dans l’humain.
Et là, me vient l’idée pendant ces 20 minutes, de venir faire cette publication pour encore une fois aider à prendre conscience à ceux qui verront ce post…
Alors que les politiques se déchirent autour de la réforme des retraites.
Alors que beaucoup souffrent de leur boulot.
Je viens appuyer sur cette douleur pour aider à prendre conscience que travail = instrument de torture.
La retraite c’est une mise à l’écart, beaucoup en souffrent parce qu’ils ne sont plus personne une fois le statut social tombé.
Encore une fois, il est toujours plus facile de prévenir que de guérir…
Alors pourquoi ne pas choisir un métier passion que vous pouvez faire jusqu’à votre dernier souffle, parce que ce ne sera pas une contrainte, et vous pourrez écouter votre corps, vous respecter, vous aimer, à chaque instant, sans nourrir cette peur de perdre votre travail, de perdre de l’argent, et toutes les souffrances qui vont avec.
La vie repose sur nos croyances, tant que tu crois que tu dois nourrir ce schéma de fonctionnement qui s’appuie sur la conscience collective depuis la nuit des temps, et qui casse les corps bien avant l’heure, alors c’est ce que tu vivras.
Pour ma part j’ai adopté la croyance que je suis énergie, tout est énergie, je m’appuie sur les propos d’Albert Einstein, les travaux du docteur Joe Dispenza, et je crée dans mon esprit pour le vivre dans la matière de façon paisible, agréable et sereine.
Je mets en pratique la loi de Pareto, la loi du moindre effort, la loi d’attraction, je m’appuie sur la connexion à l’instant présent, selon les enseignement de Eckart Tollé…
Et chaque jour, je suis de plus en plus libre, de plus en plus épanoui, de plus en plus connecté à l’abondance, parce que c’est ce que je suis dans mon état originel.
Alors maintenant, si tu as encore quelques années à « tafer » et que tu ne veux pas subir cette fin de carrière professionnelle, et que tu préfères vivre dès maintenant, en 2025, plutôt que d’attendre… un jour peut-être, et bien n’hésite pas à solliciter ton coach.
Je te souhaite une belle soirée et un bon weekend.
