Nous sommes victime bien plus souvent que nous le pensons.

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Nous savons que le statut de victime est une illusion liée au jeu de la 3D…

Puisque dans la 3D, nous avons des tribunaux qui rendent la justice ou l’injustice, en fonction du point de vue de chacun….

Il y a donc la victime du système, qui va porter plainte contre son bourreau, et se faire aider par la justice qui sera son sauveur.

Il y a la victime du vol, qui va porter plainte contre le voleur et se faire aider par la gendarmerie.

Il y a la victime de la crise, qui va chercher le sauveur chez Pôle emploi ou à l’Élysée.

Nous savons que dès lors que nous nous posons en victime, il y a forcément un bourreau et un sauveur, puisque nous sommes dans le triangle de Karpman.

Et quand nous sommes dans le triangle de Karpman, nous sommes dans le déni de notre propre responsabilité.

Il est plus facile de se plaindre pour avoir de l’attention et donc capter une énergie amour, pour s’en nourrir, que de prendre les responsabilités de sa vie et d’aller fouiner dans le fond de ses émotions dans le silence de son âme.

Mais nous sommes victimes bien plus souvent que nous le pensons.

Quand je dis nous sommes victime, je vais quand même préciser…

Nous choisissons de prendre le statut illusoire de victime bien plus souvent que nous le pensons.

Puisque la victime n’existe pas, le bourreau n’existe pas, le sauveur n’existe pas, ce ne sont que des illusions de l’Incarnation du jeu de la 3D.

Ça appartient au mental, à l’ego qui a peur de souffrir, peur de ne pas être aimé, peur de mourir, exetera.

Puisque dès lors que nous allons dans notre cœur, nous retrouvons l’amour absolu, l’amour divin, l’amour universel, le tout.

Et nous comprenons que nous sommes tous des âmes pures qui sommes venues expérimenter le jeu de la séparation, et c’est ça qui fait peur, c’est tout.

Quand on retourne dans notre cœur, on ressent l’unité, on ressent la plénitude, tout est là et tout va bien.

Alors pour en revenir à ce statut de victime que nous nous collons encore régulièrement, même quand nous faisons du travail sur nous…

Nous sommes 100 % responsable de notre création.

Nous sommes 100% responsable de nos choix.

Aujourd’hui en 2021, on peut rajouter nous sommes 100 % responsable de nos croyances.

Nous avons la chance d’avoir accès à l’information, on peut prendre ce que l’on veut, se nourrir de ce que l’on veut, filtrer ce que l’on veut, sélectionner ce que l’on veut, virer de notre vie ce que l’on veut, c’est relativement simple.

Alors comment comprendre comment je me comporte comme une victime, et que je me deresponsabilise de ma vie ?

Quand je suis face à un être humain, est-ce que je parle de lui ou est-ce que je parle de moi ?

Stéphane Bride-Bonnot consultant coach

Si je parle de moi, prudence !

Si je partage mes expériences négatives, je suis victime…

Un autre moment où nous avons tendance à nous placer en victime facilement, c’est que notre journée se déroule tranquillement, et un grain de sable arrive, un événement extérieur vient chambouler nos plans…

Dès lors que je ressens une frustration, j’ai cassé mes vibrations de joie, j’ai cassé mon élan d’inspiration, pour me poser dans le rejet, j’ai déjà les prémices du statut de victime.

Si de ce grain de sable, je cherche une solution extérieure pour m’en sortir, alors je suis réellement victime.

Puisque le triangle de Karpman c’est que nous cherchons à l’extérieur de nous les solutions.

Donc si aujourd’hui ma connexion internet est en panne, et que je commence à critiquer le fournisseur d’accès, je suis victime.

Si j’ai un rendez-vous client à 10h et que le client ne vient pas, si je commence à lui rejeter la responsabilité, je suis victime.

Dès lors que nous rejetons la responsabilité à l’extérieur, où dès lors que nous cherchons la solution à l’extérieur, nous ne sommes plus dans le pouvoir créateur de notre énergie pur amour qui part de nous, nous sommes donc dans le statut illusoire de victime.

Et naturellement par ce lien, rien ne peut arriver puisque ce n’est pas le processus normal de création.

Nous créons dans les énergies de notre cœur, tout part de nous.

Il est très important de comprendre ça.

Dès lors que ça part de notre cœur, ça part de notre inspiration, de notre intuition, de l’amour, ça ne peut que fonctionner de façon pérenne.

Quand ça part de notre tête, ça va chercher à l’extérieur, dans la matière, venant des autres, et par conséquent ce n’est qu’un pansement qui ne peut pas tenir dans le temps.

Tout ce qui nous revient dans la matière n’est que le retour de nos propres vibrations intérieures.

Alors si ça coince, si ça ne répond pas à nos attentes mentales, c’est que nous ne sommes pas en alignement tête corps-esprit.

Puisque si la tête veut la même chose que le cœur, alors naturellement, nous aurons ce que nous voulons dans la vie.

Il ne peut pas en être autrement.

Mais si la tête est dans la peur, dans la victimisation, dans l’extérieur, elle ne peut pas être en adéquation avec notre cœur.

C’est pour cela que je préconise 6 heures par jour, tous les jours, seul avec nous-même, dans la nature de préférence, c’est le minimum pour pouvoir écouter son cœur, monter nos vibrations, et créer tout ce que nous souhaitons.

Nous avons tout en nous, il suffit de nous y connecter, c’est tout.

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Stéphane Bride-Bonnot consultant logistique